Thomas Pesquet: Feeding the tardigrades! Researchers are investigating the effects of microgravity on these microscopic creatures, also known as water bears, through an experiment called Cell Science 4.
#DYK the largest tardigrade species is just over 1mm in length and they’re incredibly hardy – surviving extreme environments in space and on Earth. In this case, researchers want to characterise the genes that allow tardigrades to survive during short and long periods in space, then assess how the use of these genes changes across generations Maybe we can harness their secrets!
Profession gardien de Zoo Ă mi-temps, il faut assurer le repas bi-hebdomadaire des tardigrades de l’expĂ©rience Cell Science 4 ?. Les chercheurs Ă©tudient les effets de l’impesanteur et de l’environnement spatial sur ces crĂ©atures microscopiques qu’on surnomme parfois oursons d’eau. L’espèce la plus grande peut mesurer jusqu’Ă 1 mm de long, mais en gĂ©nĂ©ral ils sont microscopiques… Ces crĂ©atures sont incroyablement rĂ©sistantes, capables de survivre Ă des environnements extrĂªmes sur Terre comme dans l’espace : certains sont revenus de plusieurs jours Ă l’extĂ©rieur, dans le vide, avec des tempĂ©ratures de +100 Ă -100 degrĂ©s, sans un dommage… Dans le cas de Cell Science 4, les scientifiques essayent d’identifier les gènes qui leur permettent de survivre durant des sĂ©jours plus ou moins longs dans l’espace, et d’Ă©valuer comment l’utilisation de ces gènes change au cours des gĂ©nĂ©rations dans le but d’exploiter pour les humains les secrets de leur incroyable rĂ©silience !
Credits: ESA/NASA-T. Pesquet Larger image